Réduire les déchets et les valoriser
Avec pour objectif de valoriser 100 % de ses déchets d’ici 2030, VINCI Concessions s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire autour d’une double ambition : réduire les quantités de déchets générés et systématiser leur valorisation. Dans les géographies où les filières de tri et de valorisation sont matures, ses équipes travaillent à identifier les sous-traitants offrant le taux de valorisation le plus performant. Ainsi, en Grande-Bretagne et au Portugal, environ 70 % des déchets sont recyclés et 100 % sont valorisés. Dans les régions où les filières de recyclage sont émergentes ou inexistantes, VINCI Concessions développe avec différents acteurs locaux, en particulier les chiffonniers, des projets de recyclage inclusif en organisant le tri sur ses sites avec ces acteurs, dans des conditions de sécurité et de contrôle rigoureuses. Des projets de ce type, croisant préoccupations sociétales et environnementales, sont aujourd’hui déployés au Cambodge et en cours de déploiement à Manaus, au Brésil.
Préserver les milieux naturels
Par leur emprise territoriale, les infrastructures de transport impactent les milieux naturels et la biodiversité. Opérateur de long terme, VINCI Concessions mène des actions dans la durée pour minimiser cette empreinte environnementale, en développant, en partenariat avec les associations locales, des solutions pour réduire ses consommations d’eau, préserver l’intégrité des habitats naturels ou assurer la continuité des déplacements des espèces sauvages. Au Brésil, un centre de biodiversité a été créé au sein de l’aéroport Salvador Bahia pour protéger la faune aviaire, notamment en collectant les oiseaux pour les relâcher dans des zones sans risques pour eux. Au Mexique, une entité baptisée UMA (Unidad de Manejo para la conservación y Aprovechamiento custentable de la Vida Silvestre), a été spécialement créée pour porter l’action d’OMA, filiale de VINCI Concessions, en faveur de la biodiversité. En 2022 et 2023, des inventaires naturalistes ont été conduits au sein des 13 sites aéroportuaires opérés par OMA. Ils ont permis de recenser les habitats et espèces présents et définir des objectifs de gestion écologique, tout en garantissant la sécurité aéroportuaire.